lundi 30 juin 2014

Beowulf: A translation and commentary de J.R.R Tolkien



Avant de commencer cette chronique je tiens à préciser que j’ai lu deux livre en un, car j’avais la version française que j’ai obtenu grâce au swap avec Yuya46 et vous le savez je suis un grand fan de J.R.R.Tolkien donc quand j’ai vu que ce livre sortais je me suis jeté dessus. Donc vous l’aurez compris je me suis servi de mon livre français pour m’appuyer sur ma lecture VO. Attention risque de spoiler dans le résumé et dans mon avis.




Poème en vieil anglais des environs de l'an mil, Beowulf est le plus ancien long poème héroïque qui nous soit parvenu intégralement dans une langue européenne autre que le latin. Il s'inscrit peut-être dans une tradition beaucoup plus ancienne encore, puisque Beowulf est présenté comme le neveu d'un chef scandinave dont la mort vers 520 est historiquement attestée. Prince modèle, fidèle à ses souverains et à ses engagements, il affronte des forces mauvaises, ogres et dragons. Il meurt, à la fois victime et vainqueur du dragon, en protecteur de son peuple. La société décrite, et vérifiée par l'archéologie, est païenne, mais le poème est chrétien. La célébration en anglais d'un héros scandinave, l'éloge d'un prince païen par un poète chrétien, le mélange de fabuleux et d'historique, l'entrelacement des épisodes, le style délibérément traditionnel expliquent la fascination exercée par ce chef-d'œuvre. Depuis que sa valeur littéraire a été reconnue au XIXe siècle et sa leçon de courage réaffirmée en 1936 par Tolkien, l'auteur du Seigneur des anneaux, les médias, surtout anglo-saxons, ne cessent de l'exploiter. Ce volume, qui donne à la fois le texte original et une traduction nouvelle d'André Crépin, permet au public francophone de le découvrir.




Avant de vous plonger dans cette lecture qui risque de vous gênez, car on parle de poème nordique, vous verrez tout de suite une grande différence entre les poèmes que vous connaissez et ceux-là. La particularité de ces poèmes est leurs formes métriques des lais, il faut savoir qu’il existe trois formes métriques dans les poèmes eddiques. Les vers du Veil anglais se composent de deux groupes de mots opposées ou « hémistiches ». Chaque hémistiche est un exemple ou une variation, de l’une des six combinaisons de base. Ces combinaisons sont constituées d’éléments forts et faibles, que l’on peut appeler « temps fort » et « temps faibles ». Pour vous expliquer le bas, un temps fort consiste en une syllabe longue accentuée en général au ton relativement élevé et le temps faible est le contraire en gros, donc une syllabe inaccentuée longue ou brève, au ton bas. Je ne vais pas trop rentrer dans les détails car c’est un sujet que je ne maitrise pas bien, mais voilà ses temps fort et temps faible font la puissance de ces poèmes nordiques qui à la base sont fait pour être raconte de vive voix.

Beowulf est un poème épique qui nous vient de  la littérature anglo-saxonne qui fut composé on pense entre la première moitié du VIIe siècle et la fin du premier millénaire. Comme je l’ai dit plus haut on ne connaît pas l’auteur malgré que le premier a faire une traduction en 1786 est l’islandais Grimu Jonsson thorkelin et la publie en 1815, mais traduction un peu contre verser. Tolkien travailla sur la traduction de Beowulf il sortira un livre d’ailleurs dessus en 1936. Mais Beowulf lui a inspiré certains personnage comme Gollum et Grendel ou encore le passage du dragon qui vous rappellera le passage de Smaug le terrible dans The Hobbit. Ce point renforce le fait que Tolkien c’est vraiment inspirer de la mythologie scandinave pour ses œuvres.
Mais parlons du livre en soit, car depuis le début, je vous parle mais de pas grand-chose, donc un récit héroïque ou dans la majeur partir des récits scandinave le héros meurt donc rien a voir avec les histoires que l’on peut connaitre ou le héros survit toujours. Ce récit relate l’épopée d’un héros qui tue et meurt à la fin dans un combat épique. 

Ce poème est une bonne entrée en matière dans le domaine de la mythologie scandinave. Qui ne pourra que vous rendre heureux et malheureux quand l’ont se plonge dans ce roman réécrit pas JRR Tolkien qui rend la lecture beaucoup plus facile que lire le poème qui  s’avère vite lassant. Bien que l’ensemble du poème soit unifié à travers le personnage du héros (Beowulf), l’épopée comprend deux parties bien distinctes, à la fois par leur situation spatiale, leur distribution temporelle et leur intérêt dramatique. Dans une première partie ou l’action se déroule dans une île du royaume de Danemark qui montre une lutte contre le monstre mangeur d’hommes, Grendel et la seconde partie qui se déroule en Suède cinquante années plus tard il devra affronter un dragon qui est la gardien d’un trésor. Dragon qui est sous la forme d’un serpent ailé, un peu comme dans la mythologie chinoise. Donc ce qui faut retenir est que dans les deux partis Beowulf reste l’image d’un héros valeureux, qui est prêt e risquer sa vie pour l’accomplissement de haut faits qui doivent préserver la sécurité du royaume. Vous allez me dire que je viens de vous spoiler le livre, mais je m’en excuse, car si je vous exposes cela c’est pour vous faire remarque une chose, La double thématique de la lutte contre le monstre Grendel et la lutte contre le dragon traduit de manière convaincante la persistance de la présence du mal, qu’il faut combat sans relâche et pour les plus aviser le mal est un peu comme un Phoenix qui renait de ses cendres et toujours plus vivace. On y voit donc un mythe de l’éternel combat des forces du bien contre celles du mal. 

L’assaut des force du mal qui est toujours plus fort, nous pousse a voir que peut-être notre héros a une fin qui est certes tragique, mais nous montre par sa mort une part de la personnalité du héros, on y voit sont sens de l’honneur, du sacrifice et surtout sa volonté de servir son peuple au péril de sa vie. Mais cette mort tragique mais aussi puissante car on y voit un héros souverain de son peuple. On y retrouve la dedans des échos d’un mythe antérieur à toutes littératures anglo-saxonne et qui remonte au temps des dieux scandinaves : tel qu’il est rapporté par Snorri Sturloson dans l’Edda prosaïque, pour les puriste de al mythologie scandinave ou juste ceux qui s’y intéresse reconnaitrons la mort du dieu Thor qui lors du Ragnarök trouve la mort en tuant le serpent du monde. Il y a une similitude entre la mort de Thor et Beowulf, vous allez me dire, mais Beowulf est humains pas un dieu, la est le point qui fait que les héros comme Beowulf sont considérés comme des divinités de par le courage aux combats ce qui lui vaut se statu et se respect.
Vous pouvez aussi connaitre Beowulf car a une adaptation de Graham Baker en 1999 qui n’est pas avare d’effet spéciaux, qui ravira tous les mordus e ce genre de production. In le reste en effet que du texte original, réduit en l’occurrence en statut de prétexte, qu’un vague sentiment de peur au cœur de ténèbres horrifiantes et, pour le héros, la mission sacrée qui consiste à combattre le mal. Vous pouvais aussi voir l’adaptation de Richard Fleischer en 1958 qui est assez hollywoodien. 



978-0007590063 HarperCollins Publishers Ltd

4.90/5

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